La Commanderie d'Alménor
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La Commanderie d'Alménor

Forum de la guilde d'Alménor, du jeu en ligne Tanoth.
 
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 Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya

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Keltia
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MessageSujet: Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya   Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya EmptySam 21 Fév - 18:24

Si vous voyez des doubles dialogues, c'est qu'il faut installer la police de caractère : Tengwar-Gandalf
et pardon pour les fautes éventuelles, je n'ai pas terminée de le corriger
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Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya, les Elfes dorés ou Elfes du levant ou encore Hauts-Elfes est mon peuple. Et voici mon histoire…


Je suis née dans une région d'Alménor plutôt tranquille entre Le Bois Maudit et les Lacs D’Aris, mes parents étaient la risée des autres Elfes car mon père, jamais, ne s’était comporté comme nos semblables, nous étions surnommés (je vous ferais grâce du terme elfique) les sauvages, les elfes verts et autres sobriquets, pourquoi me demanderiez-vous ? Et bien parce que mon père était féru de chasse et de pêche et que nous avions l’habitude de manger ses proies.
Il venait d’une autre contré, personne ne le connaissait et c’est par crainte de ce grand Elfe que mes grands parents maternels finirent par accepter de lui donner la main de ma mère.
Je pris rapidement l’habitude de l’accompagner dans ses chasses, nous étions père et moi inséparable et que de rires et de chants fusaient de nos bouches. Puis voyant que je chassais mieux que lui-même ne l’avait jamais fait, il me fit partir seule, je restais absente parfois des jours entiers, jusqu'à ce sombre jour de printemps.

En rentrant après m’être absentée presque une semaine tant ma chasse m’absorbait (je tuais au passage quelques orcs, gobelins et autres bestioles tout aussi vils et nuisibles) je trouvais notre maison saccagée, des elfes vieux ou jeunes m’avaient regardés à mon passage tantôt avec pitié, tantôt avec tristesse et d’autres avec défis et sourires en coin. Je ne savais qu'elles en étaient les raisons mais je décidais de les ignorer et courus jusque chez moi……………….……………………… Là m'attendais un spectacle que je n'oublierais jamais………Morts, tous, mes parents tant aimés, mon petit frère Tathar et ma petite sœur Idril que mon cœur chérissait tant, ils étaient là allongés baignant dans leurs sangs, massacrés par des orcs venus un jour plus tôt. MON PEUPLE n'avait rien fait, n'avait levé le petit doigt. Mes hurlements de douleur et de rage s'entendirent à des kilomètres peut être. Je sortis en proie à une rage noire, aussitôt des elfes lancèrent que ce qui s'était passé était surement de leurs fautes,
- Ce qui est arrivée, est de leurs fautes. IL n’était pas comme nous un Haut-Elfe (Ce qui est arrivée, est de leurs fautes. IL n’était pas comme nous un Haut-Elfe)..
A ses mots je laissais ma rage guider mes actes et j'égorgeais un de ses impudent, puis un autre, on m'arrêta et me jugea, compara à ces orcs, dirent que cela provenait surement de ma souche paternelle, je fus bannie et chassée de la tribu, que je quittais sans regret, ma confiance envers mon peuple avec.

J'errais pendant des semaines et devint une guerrière tout en gardant mes instincts de chasseur et tua nombres de mes ennemis quelques étaient leurs races ou rangs. Un matin, après avoir pisté la nuit entière une troupe de six individus (si on peut appeler des orcs individus), que je croyais à l'origine du massacre des miens, je me tenais tapie dans les fourrés dans le Bois Maudit, prête à bondir et tuer sans remords ses êtres vils. Lorsqu'un bruit ou plutôt un petit cri me fit me détourner de ma route, au pied d'un arbre je vis un petit dragon entièrement noir, je m'apprêtais à l'éliminer comme je l'avais appris, mais quelque chose retint mon geste, au même moment j'entendis des cris, qui étaient sans doute sensés être des rires, je suivis ce son et vis avec horreur, les orcs danser et chanter autour du cadavre d'une dragonne adulte, je compris immédiatement que le bébé trouvé quelques instant plutôt était le sien. La mère était aussi blanche que lui est noir Je détournai mon regard empli de larmes à la vue de ce spectacle qui avait du être la réplique du massacre de ma famille. Je me faufilai sans bruit jusqu'à ce dragonneau que j'emportai et adoptai aussitôt et lui donna le nom celtique "Aerouant" qui signifie "Dragon" pas très original, nous étions seuls lui et moi, orphelins, il devint mon seul ami puis ma seule famille, le seul qui a ma confiance pleine et entière.

Que de chemins vengeurs avons-nous parcourus ce petit compagnon inattendu et moi !!!! Que d'aventures, de combats avons-nous vécues ensemble, tant de rancune, rancœur avions nous en nous. Nous avons retrouvé la trace de ces orcs et nous les avons massacrés, moi à coup d'épée, lui à coup de griffes et de dents. Nous continuâmes ainsi jusqu'à ma rencontre avec un drôle de mage guerrier nommé Argov le Rangeot-Mago, qui me nourrit et soigna l'âme et le corps de ses blessures, il me conta ses aventures et me parla de sa guilde et des bienfaits que cela lui avait apporté. Chose étrange cet humain et moi devinrent immédiatement amis. Une fois rétablis nous décidâmes de faire un bout de chemin ensemble, nous allions pour le moment dans la même direction, lui vers Tarabat afin de rejoindre ses frères de luttes et moi vers la vallée maudite. Au cours de nos péripétie communes, Argov réussit à me convaincre que l'humanité n'était pas aussi mauvaise et pervertie que je le pensais et qu'il y avait sur les terres d'Alménor des personnes encore digne de confiance et aussi meurtries que moi.

Tiens un flashback et en partie sur Aerouant :
Je me souviens qu’au moment de sa découverte, je fus sur le point de le tuer, mais quelque chose en moi avait retenus mon bras, c’est ce que je vous disais un peu plus haut ! Et bien je me rappelle à présent. C’était le regard effrayé et perdu de ce petit être, qui avais du être le même que celui d’Idril ma petite sœur au moment où l’orcs à ……………………………… Une chose impensable jusque là se passa dans mon cœur à cette pensée. Je pris le dragonneau dans mes bras qui se laissa faire sans esquisser le moindre geste, il leva sa petite tête noire vers moi et me regarda droit dans les yeux, puis rabaissa sa tête, bougea un peu pour se lover dans mes bras, ferma les yeux et s’endormit. A cet instant je sus que jamais plus nous ne saurions seul, mais ensemble à jamais. Je repris ma route, car les orcs n’étaient déjà plus là. Je nous trouvais un refuge de fortune pour la nuit. Le lendemain je lui fis un sac de transport bien douillet, pour ce faire, je chassais un lapin la chair pour nous nourrir et la peau pour le sac poils vers l’intérieur, et y déposa Aerouant bien au chaud et en sécurité. La nuit immanquablement il venait se caler contre moi sa petite tête sur mon bras, son souffle presqu’un ronronnement me berçais.
Deux semaines c’était écoulés qu’en enfin je finis par retrouver la piste des orcs avaient tué cette dragonne et ma famille, enfin une partie des meurtrier. Il me fallut encore trois jours et trois nuits pour les rejoindre. Je mis Aerouant à l’abri et je m’approchais de leur campement sans bruit, ses porcs dormaient. Moi étant seule et eux cinq et costauds avec ça, je ne pouvais me permettre de les attaquer de front et tous en même temps. Après avoir réfléchis je décidais d’utiliser une technique peu louable, mais efficace – des pièges – je les préparai comme mon père me l’avait appris à l’époque où nous chassions ensemble. Un collet recouvert de feuillages, un trou profond, j’y ajoutais de longs pieux bien pointus recouverts d’un treillis de branchages et de feuilles. Une fois les préparatifs terminés, je fis un bruit d’enfer, pour les réveiller et les disperser. Là je les attaquais un à un. Le premier se mit aussi sec à râler, grogner : argghhhhh, grumphe et autres onomatopées compréhensible que par eux.
-Qui oser réveiller Paurk
- Moi !
Dis-je,
- Qui toi ?? HAH HAH HAH
- Et oui moi, et je vais me faire un plaisirs de te trancher en morceaux,
- Toi tuer Paurk ? HAH HAH HAH
- Oui moi tuer Paurk ! AHAHAHAHAHA !!
(Bon ben on ne rit pas de la même façon !!!)
S’ensuivit un terrible combat, Paurk finit effectivement en morceaux, mais il fallait faire vite, je ne pouvais m’éterniser et par la même perdre du temps, un combat trop long était risqué, les autres pouvaient arriver au même moment et non tomber dans mes pièges.

Une fois Paurk en sushi, je pus m’occuper et attirer chacun de ses compagnons jusqu’à mes pièges. Le premier tout proche du collet se pris lui-même le pied dedans, sans mon aide, il perdit ses armes, il ne pouvait rien faire d’autres que de gueuler comme un porc. D’ailleurs lui je l’égorgeai tel un porc.
Puis je partis à « m’amuser » avec les autres en les attirants un à un au deuxième piège, hop un premier lourdaud qui se vautre dans le trou, puis un deuxième, et enfin un troisième. Le dernier lui ne tomba pas dans le piège (sont comme les cafards ma parole ils apprennent en regardant les autres Mouhaha...)
J’avais passé une partie de la nuit à mettre au point et faire ses pièges, ainsi qu’a harceler ces porcs pour qu’ils ne trouvent le sommeil (sauf sur la fin de la nuit), pendant que je faisais ça, je me disais que c’était peu louable, mais après tout qu’est-ce qu’un Orc ? Un animal ? Non je ne peux décemment pas les comparer à des animaux, car les animaux eux ne tue que pour se nourrir et non par plaisirs comme, comme, ces êtres puants, vils, et répugnants. Je disais donc que le dernier de la bande n’était pas tombé dans mon piège, mais était là à me regarder (remarque un chien regarde bien un évêque alors….) ce bestiau devait mesurer dans les deux mètres cinquante de haut, peser ????? Bonne question, très lourd en tout cas, et moche mais moche à faire peur à un gobelin. Avec sa grosse tête difforme et strié de cicatrices, des yeux globuleux, des dents « du bonheur » à moins qu’il n’y en avait qu’une sur deux voir trois, les autres étant plus ou moins pourries. Une haleine à faire fuir les habitants du Marais des Oubliés, des cheveux ou poils sur sa tête long, en bataille, crasseux, et poisseux, avec pour équipement une armure du chaos avec heaume assortie aussi noir que la nuit, un cimeterre et une masse d’armes, des bottes en peau et des gants mités et miteux venaient compléter le tableau.
Je pris mon courage et ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268 à double lames à deux mains et m’élançais vers cette brute épaisse. Je donnai un mouvement de moulinet (ou moulinette) à mon arme et aussitôt le premier coup porté celle-ci entailla et brisa son armure déjà bien abimée et tailla une belle tranche de viande dans son abdomen. L’Orc poussa un hurlement de douleur et de rage, il se releva et vint droit sur moi sa masse d’arme au dessus de sa grosse tête hirsute, étant plus agile que lui, j’évitais de justesse sa masse lorsqu’il l’abaissa, je redoublais d’effort et d’un coup de Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268 bien placé lui sectionnai le bras droit, il abandonna sa masse au profit du cimeterre, son sang s’écoulant et de répandant dans son sillage. On peut dire qu’il savait s’en servir car au premier coup qu’il porta, m’entailla le bras gauche, mais pas suffisamment pour m’empêcher de continuer le combat, son deuxième coup me frôla la gorges et évita ma carotide de quelques centimètres seulement, me ressaisissant à mon tour, je repris de plus bel mon moulinet qui cette fois atteignit sa cible, l’Orc s’écroula au sol, raccourcis…..d’une tête.
Après avoir vérifié que mes ennemis étaient bien dans l’autre monde, je partie rejoindre Aerouant, toujours caché. Je m’adossais contre un arbre avec le dragonneau dans les bras, fermais les yeux et étais sur le point de m’endormir là, lorsque je ressentis une vive brulure sur mon bras gauche à l’endroit même de l’une de mes blessures, il était entrains de la lécher, j’allais le repousser quand je pris conscience qu’il cautérisait chacune de mes blessures. Plus aucune ne saignait, se petit me soignait, je ne pus m’empêcher de l’embrasser, puis me trainais jusqu’à une rivière proche, et là me lavais pour me débarrasser de l’odeur du sang et surtout celle des orcs, pouah !!! Ce qu’ils peuvent puer, ils feraient fuir un troupeau de phacochères.
Ma quête vengeresse était proche de la fin, et oui sur les dix orcs meurtriers de ma famille, ce soir j’en avais eu cinq, il ne me restait plus qu’à me remettre en marche, mais avant un peu de repos me fera du bien. Une fois propre et rassasiée, je m’installais avec Aerouant pour gouter un repos bien mérité, lorsque je vis au loin sur le chemin une silhouette qui approchait, je cachais aussitôt Aerouant et me saisie de mon arme, me tenant prête à en découdre avec le nouveau venu. Il s’avançait lentement mais surement dans ma direction, une aura bizarre flottait autour de lui, je me tenais là tapis à l’abri de son regard, ne m’attendant plus à un Orc, mais à une autre espèce – "surement un humain" me dis-je. Lorsqu’il fut suffisamment proche je reconnu un mage à sa tenu vestimentaire.
Ce qui ne me mettais pas en sécurité pour autant, car tout les mages ne sont pas digne confiance. Arrivé à mon campement il leva sa main libre et me parla d’une voix calme et assurée.
- Je ne te vois pas, mais tu peux sortir de ta cachette, je ne te veux aucun mal, je suis ici en ami et non en ennemi, surtout que d’après les corps des orcs que j’ai croisé, il me semble qu’il ne fait pas bon être ton ennemi Ah ah ah "Il rit ?" - Tu ne crains rien de moi je te l’assure. Je suis Argov Le Rangeot-Mago.
- Mouais, et c’est toi qui m’assure qu’il ne m’arrivera rien ! Hein ?
- Oui je t’en pris sort de ta cachette,
Je finis par sortir de ma planque,


Dernière édition par Keltia le Lun 6 Avr - 23:47, édité 21 fois
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MessageSujet: Suite   Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya EmptyLun 6 Avr - 23:09

– J’ai déjà eu affaire à des mages venant en « ami » et qui la nuit, te balançait une jolie petite boule de feu en traitre. Alors dis-moi Mage qu’est-ce qui m’assure que tu ne me jetteras pas un sort une fois que je serais endormis ?
- Rien, tu as raison rien ne pourrait l’assurer, à part ma parole de Mage.
- Mouais pour ce qu’elle vaut la parole de Mage…Mais peut être puis-je avoir confiance
(toute relative) en toi, il me semble avoir déjà entendu ton nom. Je ne sais plus où, mais ça me reviendras. En attendant je te laisserais le bénéfice du doute. Tu peux t’assoir.
- Je te remercie euh ….. Quel est ton nom Elfe.
- L’Elfe se nomme « Eärwen Narmolanya », mais tu peux m’appeler Keltia.
- Eärwen Narmolanya alias Keltia, j’ai moi aussi entendu parler de toi, il parait que tu es une vraie terreur.
- Pfff !! Une vraie terreur, qui peux ainsi me surnommé ? Des vils ? Des pleutres ?
- Non des villageois, des chevaliers, des mages entre autres qui pensent que tu es une combattante du bien et de la lumière, des orcs, gobelins, liches et autres créatures du même acabit et qui eux te considère plutôt comme un démon. Et qui aimeraient te voir occis quelque part, mais loin d’eux.
- Ouais…Bien ce que je disais des pleutres, des couards et des créatures du chaos.
- Ne sois pas si sévère envers les hommes, ils ne sont pas tous pleutres, couards ou autres, ce ne sont que des hommes et non des combattant comme toi ou moi, ils….
- Comme MOI ? Mais avant je n’étais pas non plus une combattante, ce n’est que par la force des choses que je le suis devenu, alors je t’en pris Mage, garde ta moral pour toi.
- Ne te fâche pas Keltia, et s’il te plaît appel moi donc Argov et plus Mage.
- D’accord…..Comme tu veux Argov,
- Bien je t’en remercie, mais dis moi j’ai entendu dire que tu avais auprès de toi un dragon ? Est-ce vrai ? Je ne l’ai vu nul par !!
- Oui et alors ?
- Alors j’aimerai bien le voir. Si tu es d’accord bien évidement.

Après réflexion, j’acquiesçais et allais chercher Aerouant.
- Mais ce n’est encore qu’un dragonneau ?
- Oui comme tu peux le voir,

Je répondis aux différentes questions d’Argov sur mon dragon, lui m’apprit qu’en aucun cas cette dragonne blanche ne pouvait être la mère biologique d’Aerouant. Qu’elle avait soit trouvée, soit volée l’œuf.
- Tu sais les dragons noirs sont les plus secrets et les plus reclus du monde des dragons. Ils vivent dans les montagnes retirées ou dans les marais. Occasionnellement, il fera sa niche dans le cœur d’une dense forêt. Ils sont très intelligents et ils utilisent leur ruse avant de tenter une attaque contre un ennemi. Ils sont de très bons parleurs. Il ne parle que très rarement aux humains, mais si l'occasion se présente, ils parleront d'un langage parfait. Ils excellent dans les arts occultes et ils utilisent la magie fréquemment. Comme alliés, ils sont excellents, mais ils préfèrent ne pas se mêler des affaires humaines. Cependant, il n'aime pas que l'on viole sont territoire. Lorsqu'il est confronté, le dragon noir utilisera ses griffes ou mordra. Il peut aussi cracher de l'acide à une cible le distançant de deux mètres. Les dragons noirs sont instable voir chaotique. Ils peuvent mesurer jusqu'à dix mètres. Ils ont une étrange conception des saveurs et ils laissent souvent leur nourriture dans des piscines, car selon eux, cela ajoute de la saveur aux aliments. Voilà pour ton Aerouant, quand au blanc ils sont plutôt lents et instinctifs. Très solitaire, ils vivent loin des autres dragons dans les climats glacials, les banquises et les cavernes de glaces. Ils ne s'occupent que de leurs besoins primaires et chassent souvent en bande pour capturer des proies. Ils mangent seulement des proies gelées et ils utilisent leur souffle glacé pour figer leur proie avant de la dévorer. De plus, il faut que tu sache que les dragons sont amoureux de trésors, or, gemmes, objets d'art et surtout OJETS MAGIQUES. Regarde le miens ... ah oui c'est vrai tu ne le connais pas encore.
Sifflement
-je te présente RESK La Tempête Dragon d'Argent de sont état, il aime particulièrement les pièces d'argent, que je lui donne souvent "gourmand va !! "
Au fur et à mesure que nous parlions ensemble, je ne sais pour quelle raison, mais je finis par lui conter mon histoire et lui de m’écouter attentivement, et, de me conter la sienne, nous avions plus en commun que je ne l’imaginais au départ, ce qui ne m’empêchais pas d’être toujours méfiante à son égard. J’ai passée tellement de temps seule depuis cet horrible jour, que je me demandais si je pourrais un jour avoir à nouveau confiance en quelqu’un.
Nous mangeâmes un morceau autour du feu, puis il me proposa de prendre un tour de garde.
- Puisque tu as combattu avec force et courage aujourd’hui, tu dois être épuisée, dors je prends le premier tour, dès que les premiers signes de fatigue se feront ressentir, je te réveillerais »,
Je m’enroulais dans une couverture, Aerouant collé à moi, mais je ne pus fermer l’œil, mon dragonneau non plus d’ailleurs.
Quatre heures plu tard, il me réveilla, enfin presque, il s’enroula à son tour dans sa couverture et s’endormis aussitôt, me faisait il donc confiance ? Apparemment !
Au petit matin il préparât le petit déjeuner, fort bon ma fois. Puis nous levâmes le camp, j’acceptai qu’il soigne les blessures restantes, c’est là qu’il me proposa de faire route ensemble. Jusqu’à ce que nos routes se séparent. J’acceptai, curieusement la compagnie de ce mage commençait à me plaire. Au cours de notre progression il ne fit pas que soigner mon corps, mais l’âme aussi.
Un jour il me dit :
- Tu sais Keltia il n’y a pas que de mauvais gens dans ce monde. Je vois bien que tu ne me fais pas encore confiance, et que tu regarde toujours les personnes que nous croisons avec indifférence voir avec suspicion. Mais parmi ces gens il y en a qui on souffert autant que toi et moi, certains ont vu des horreurs inimaginables, essai de regarder, voir leurs âmes, avant de les juger. Et tu verras qu’ils ne sont pas tous, comme toi tu les vois et que tu peux leur faire confiance.
- Mouais on verra, on verra.
Et je dois avouer que j’ai vu, un grand nombre d’entre eux, étaient effectivement aussi, voir plus meurtri que moi. Et je pris conscience que je commençais à avoir confiance en Argov. Sentiment que je n’avais eu depuis fort longtemps envers un être autre qu’animal.

Il me parla de sa Guilde Alménor, qu’il y avait de nombreux Chevaliers et Paladins, Elfes et Demi-Elfes, Nains (et pas de Demi-Nains), même des Demi-Orcs qui les avaient rejoins, au point que le Commandeur Galaan, décida de fonder une Guilde Alménor II, il me dit qu’il y avait la Forteresse de Tarabat, celle à laquelle il était rattaché, et qu’il rejoignait, et la Forteresse de Thun. Il me parla de certains des membres de la guilde.
- Il y a Galaan notre Commandeur fort, bon et juste, Amadeus l’Elfe qu’il ne fait pas bon d’énerver, a se demander si tout les Elfes sont aussi rapide à la détente que vous deux, sa sœur Saya. Mémémarcel Sorcière de son état et aussi vielle qu’intraitable surtout en ce qui concerne la clé des réserve de notre taverne qu’un Nain Chrismajor essai de lui voler régulièrement. Bah tiens en parlant du Nain Chris toujours à râler mais pas le dernier à venir en aide à ses compagnons c’est un nain traitable là il partit à rire, un vrai fou rire, Anaori Demi-Elfe et Grand Général, Couronné Prince par le Roi Alcan III pour ses faits d’armes, Glaurung chevalier de la Croix-Noire et rôdeur doué dans plein de domaines dont l’artistique, car il nous fait de temps en temps des enluminures qui n’ont rien à envier à celles des ecclésiastiques, enfin me dit il . Il y a tellement de monde que je ne puis tous te les nommer comme ça.
Après quelques semaines de routes je lui faisais entièrement confiance et nous sommes même devenus amis. Nous avions parcouru les trois quart du chemin, lorsque nous tombâmes, enfin surtout Argov, vu que son cheval c'était cabré presque à se retourner suite à l'envoi d'un sortilège par l'un de ces vicieux sorcier Orc et l’a désarçonné, sur une bande de joyeux gobelins. Par les Dieux ce qu’ils peuvent être laids, viles et teigneux avec ça. Remarque ils n’ont pas non plus appréciés que cinq des leurs se fassent littéralement écrabouillés sous le poids "et je n’insinue pas que tu sois gros ou lourd Argov, non, non s’il te plaît repose ton bâton, là calme, calme, bien, non ce n’est pas ça mais tu es un homme assez grand, alors que les nains euuuh… non, non pas des nains, pardon Chris, eh arrête repose ta Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268 je t’assure que je ne voulais pas vous comparer à des gobelins, repose là, voilà gentil le nain, gentil. Ouf bon j’ai eu chaud sur coup là, où en étais-je"…Ah oui donc je disais les gob’ sont petits hauts comme trois cerises perchées sur un escabeau, alors lorsque Argov est tombé sur eux, ça a fait quelque chose comme : sppuiiutche (a peu près), les autres environ une cinquantaine plus une bonne vingtaine d'Orc et Uruk Haï, avec parmi eux une dizaine de sorcier, se sont énervés les teignes, et se sont précipités sur notre mage, qui au bout d’un moment me dit :
- Euh Keltia, ça te dérangerais de cesser de te marrer et de m’aider à me débarrasser des teignes ?
- HiHAHAHHA MOUAHAHAHAHA !!! Déso…solée peux…peux pas MOUAHAHAHA !!!!
- Pffff KELTIA… NOM D’UN ORC INTELLIGENT….CESSE DE TE BIDONNER ET DONNE MOI UN COUP DE MAIN,
- pffffffffff MOUAHAHAHA !!! Ok, ok, ok t’énerve pas, j’arrive,
J’aidais Argov à les finir. Lui leur balançant des boules de feu et moi à coup de Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268.
Je dois avouer que ses semaines passées ont été bien agréable et que j’ai réapprit à rire. De plus il est agréable d’être à plusieurs lors d’un combat, on rigole plus, et en plus notre mage-guerrier est très fort, ses boules de feu sont impressionnantes euh surtout si on se met à la place du receveur. Je ne l’ai jamais vu manquer sa cible, sauf peut-être une fois le jour ou je me bidonnais après son "vautrage" en toute beauté sur les gob’. Il m’avait fallut trois nuits blanches avant de pouvoir dormir et me sentir en sécurité. Aerouant se remit à dormir aussi. Nous étions sur à ce moment là qu’un coup en traitre ne nous réveillerais pas en pleine nuit.

Mon regard sur l’humanité commença doucement à changer et ce grâce à lui, je le vis enfin SE malheur qui s’était abattu sur le peuple d’Alménor, je vis enfin le regard effrayé des femmes récupérer leurs enfants, des visages derrière les fenêtres, à notre passages dans les villages ou hameaux. En arrivant dans l’un deux, dans la vallée de Thun, nous décidâmes d’y séjourner quelques jours, malgré les regards suspicieux des habitants, nous prîmes nos quartiers à la seule auberge. Le premier soir, alors que nous soupions dans la salle principale, qui était la seule soit dit en passant et au trois quart vide, des bribes de conversation entre le tenancier et un voyageur connus d’eux, parvinrent jusqu'à nous. Il semblerait qu’une troupe apparemment composée de huit orcs et d’une dizaine de gobelins feraient régner la terreur dans les environs et que plusieurs villageois, hommes, femmes et mêmes enfants avaient disparu en allant ou en revenant des champs et personnes ne les avaient revu.
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MessageSujet: Suite 2   Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya EmptyLun 6 Avr - 23:32

Argov et moi nous nous regardâmes, au même moment mais sans bronchés. Du moins jusqu'à ce que le tavernier s’approche de nous.
- Dites moi voyageurs, vous êtes bien un mage et vous une guerrière, non ?
- Oui cela est exacte, tavernier.
- Je ne suis pas seulement le tenancier de cet établissement mais aussi le chef du village, je me demandais…, enfin…euh je me demandais, Mes Seigneurs…si,
- Oui ? L’encouragea Argov.
-Si…, si vous accepteriez de nous venir en aide et d’éliminer ces créatures du diable !!
- Vous vous demandiez ? Et pourquoi nous vous aiderions ? Demandais-je A votre façon de nous regarder à notre arrivée, il m’avait semblé que vous étiez plus que suspicieux à notre égard, non ? Alors pourquoi ne pas vous en occuper vous-même !!!!
- Oh Keltia, ce ne sont que de pauvres gens la plus part ne sont que des paysans et non des combattants, ils ne connaissent rien au maniement des armes. Rassemblons les et regardes les.
Après quelques minutes de réflexions, je lui dis
- Huuumm bon si tu veux, mais que veux tu que je regarde ?
- Mais eux et leurs âmes !!!! Et tu verras.
- Ok, tu as entendus le mage, Tavernier ? Rassemble donc tes amis ![/color][/b]
- Oui Mes Seigneurs, j’y cours, Mes Seigneurs. Merci Mes Seigneurs
[b][color=purple]- C’est ça, c’est ça court et dépêche toi. Pfffff tu l’as entendu ? Affable, il nous a littéralement léchés les chausses !! Et arrête avec tes « Mes Seigneurs ».

- Keltia soit plus aimable, s’il te plaît !
- Mouais, et je vais la lui faire ‘mondanité’ peut être ? C’est ce que tu veux ? Il me regarda les sourcils froncés et une mou du style ‘tu charries là, tu ne crois pas ?. Ok, je sais que t’as raison Argov, mais c’est plus fort que moi, quand je vois une mauviette, une serpillère dans son genre avec « Mes Seigneurs », ça m’énerve.
Au bout d’un quart d’heure le tavernier était de retour, et nous annonça que tout le village attendait sur la place. Nous nous y rendîmes, Argov me demanda d’écouter et de ne rien dire. Il leur posa plusieurs questions, et leur demanda de conter leur propre histoire. J’entendis, puis je finis par les écouter et les observer. Une femme en pleure nous conta qu’un soir son fils ainé parti chercher son père aux champs n’y était pas arrivé, son mari était rentré seul. Une battu fut organisé le lendemain, mais tout ce qu’ils trouvèrent était les vêtements et ………….. Elle ne put continuer, sa voix se brisa, et elle s’évanouie. Je compris enfin et mes yeux se sont ouverts pour de bon sur la condition de ses pauvre gens d’autant qu’après ce que moi j’ai ressenti à la découverte de ma famille, j’imagine très bien le désespoir de cette mère. Je me mis aussitôt dans une colère noire voir même une rage noire, des larmes de rage commençaient à vouloir se frayer un chemin, je partie en courant vers l’auberge, pour en sortir cinq minutes plus tard armée de ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268, en criant à la volée en elfique :
- Ou, ou sont ses affreuses créatures, que j’aille les occire(Où, où sont ses affreuses créatures, que j’aille les occire).
Argov m’arrêta, il réussit à attirer mon attention et me dit qu’il fallait en premier lieu avoir un plan et un bon.
- Quoi tu les crames avec ton feu et moi, je les débite en morceaux avec ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268,
- Ah Keltia cesse de faire ta Naine et écoute moi.
- Hein cesse de faire ta Naine ? Non mais ça va pas ? T’en veux une Argov ?
Une vive discussion et une boule de feu esquivée et renvoyée, plus tard, je me rangeai à son avis,
- Ok on va mettre un plan au point.
Comme nous acceptions de leur venir en aide, les femmes, les hommes et les enfants partirent aussi sec. Nous étions à discuter du plan, quand tout les villageois rentrèrent dans la salle à mangé. Les femmes nous avait préparé des sacs de victuailles, nourriture et gourdes d’eau, avec leurs époux avaient rassemblé leurs biens les plus précieux pour nous en faire don, même une petite fille qui nous apporta le collier que sa maman lui avait laissé, un gamin de quatre ans qui voulu nous donner la pièce qu’il avait reçu pour son anniversaire, nous les prîmes dans nos bras et les embrassâmes. Nous refusâmes d’un même élan Argov et moi,
- Non nous ne voulons pas de votre argent, gardé le.
- Mais nous prendrons la nourriture qui nous sera plus utile que vos biens,
Le tenancier lui, nous donna sa meilleure bouteille de bière et sa meilleure d’alcool fort, pour nous réchauffer.
Le jour même, je me mis à les pister, curieux jusqu'à ce jour je ne mettais jamais battu pour une cause autre que la mienne et voilà qu’arrive ce mage pour que je me mette à le faire. Argov sur mes talons, moins d’une heure après notre départ je retrouvais sans trop difficulté la trace de nos ennemies. "Impressionné ? Hein, Argov ? Mouahahah !!!!" La nuit approchant, nous établîmes notre campement et au levé du jour, nous reprîmes notre chasse, en fin de journée, les trouvions, ah ! Enfin un peu d’action. Suivant le plan Argov ensorcela ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268, qui maintenant flamboyait. Nous devions faire attention et au plus vite, imaginé deux fous non pardon trois, un Mage-Guerrier Humain, une Guerrière Elfe et un petit dragon qui refusait de se cacher, d’autant que môssieur voletait depuis quelques jours, et en face de nous ? Oh à peine soixante ou soixante dix. Le premier à courir vers moi un gob’ se pris une baffe magistrale par Argov, qui le cueillant au passage, lui fit perdre son sourire mauvais. Puis le combat s’engagea pour de bon, et fut féroce. Ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268 fauchait et tranchait, brulait tous ce qui passait à sa portée. Argov lui réduisant en cendres les derniers qui n’avaient pas osé se lancer dans la bataille. Une fois les corps brulés, nous retournâmes au village où nous fûmes reçus en héros. Et une grande fête fut organisée en notre honneur.
Une semaine plus tard nous parvînmes à la croisée des chemins, où nous devions nous séparer pour poursuivre nos routes respectives. Je partie donc en direction de la vallée maudite, sur la piste des orcs assassins, prête à les occire tous sans concession, ni pitié, en me mettant au passage au service des villages en ayant besoin, ne monnayant mes services qu’aux riches, ne prenant jamais d’argent aux pauvres gens.
Une nuit alors que je campais sans feu car trop risqué, j’entendis une rumeur provenant du nord de la vallée, aussitôt je me levais, pris mon paquetage, et Aerouant, et suivie cette rumeur, qui me mena droit à mes ennemis. Les cinq derniers orcs étaient là en contrebas, presque dans une fosse, je ressemblais mes forces physiques et spirituel afin de demander aux esprits de l’eau de faire gonfler le petit ruisseau qui coulait à leurs pieds puant.
- Oh Esprit de l’Eau, entendez la priere de votre fille, transforme ce ruisseau en torrent et emporté dans ses bras, ces etres indignes de s’abreuver a votre sein. Ecouté la priere de votre fille orpheline a cause de ses creatures (Oh Esprit de l’Eau, entendez la prière de votre fille, transforme ce ruisseau en torrent et emporté dans ses bras, ces êtres indignes de s’abreuver à votre sein. Ecouté la prière de votre fille orpheline à cause de ses créatures),
Les esprits entendirent ma prière, car l’instant suivant, le ruisseau se transforma en rivière, pour grossir encore et encore, les orcs étaient transit de peur en voyant l’eau monter, en l’entendant gronder. Ils voulurent fuir loin de cette eau qui gonflait à vue d’œil, je du couper leur retraite, utilisant ma Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya 216268 j’abatis un arbre qui roula droit sur eux, ils durent faire demi tour, là l’eau les faucha tout les cinq, je les suivie pour m’assurer qu’ils allaient bien périr, ce qui se passa, ils moururent noyés. A ma grande satisfaction. J’adressai une nouvelle prière aux Esprits de l’eau pour les remercier pour leurs aides.
Je décidais de rester un peu dans cette forêt prêt de ce ruisseau qui ressemblait à celui qui coulait derrière notre maison. A une différence près, c’est qu’ici, beaucoup de créatures des Dieux vivaient, j’ai rencontrée des Fées, des Elfes, un Troll, une nuit je suis même tombée sur un homme loup, là j’avoue avoir eu la peur de ma vie, mais j’ai réussis à le faire fuir. En chassant, je rencontrai des Elfes, je me mis sur la défensive, mais eux se dirigèrent directement vers moi et engagèrent la conversation et me demandant qu’elles étaient les méthodes de chasse que j’utilisais. Ce qui me détendis, je me pris à discuter avec eux. Ils m’invitèrent à venir avec eux, dans leur ville, mais je déclinais l’invitation, prétextant je ne sais plus trop qu’elle excuse. Ils me dirent de venir les voir qu’en bon ma semblera, et que j’emmène mon dragon avec moi. Mais comment, avaient ils puent savoir pour Aerouant ? Qu’une surprise m’attenderait là-bas, le chef de leur groupe me fit un plan.
Après trois jours, je me décidais enfin, et suivie le plan du Commandant Taurnil Celebrindal, et parvins facilement dans sa ville « Beren Melwasúl », une ville tout bonnement splendide, partout de douces lumières étaient accrochées, d’un blanc pur et d’autres de couleurs. Certaines maisons étaient creusées par magie à l’intérieur des arbres, d’autres sur et autour des arbres, ces dernières étaient reliées par des ponts, majestueusement décorés de fleurs, lumières et pierreries. Une fontaine d’eau cristalline sur ce qui semblait être la place. Lorsque le Commandant Taurnil Celebrindal m’aperçut du haut d’un des arbres, il se précipita littéralement vers moi, avec agilité car il n’emprunta pas les escaliers pour passer d’une passerelle à l’autre mais sauta des unes aux autres.
Je le regardais faire, un grand sourire aux lèvres. Il atterrît avec légèreté à mes pieds et me salua.
- Bonjour a toi, ma nouvelle ami, soit la bienvenu a Beren Melwasul, j’espere que tu sejourneras un moment chez et que tu t’y plairas. (Bonjour a toi, ma nouvelle ami, soit la bienvenu a Beren Melwasúl, j’espère que tu séjourneras un moment chez nous et que tu t’y plairas) .
- Merci de ton accueil, mon nouvel ami, et suis sur que mon sejour ici se passera a merveille (Merci de ton accueil, mon nouvel ami, et suis sur que mon séjour ici se passera à merveille) .
- Je t’avais promis une surprise, Mais avant laisse moi te présenter nos souverains, notre Reine Lessien Celebrindal et notre Roi Lenwë Celebrindal, qui sont aussi mes parents. (Je t’avais promis une surprise, Mais avant laisse moi te présenter nos souverains, notre Reine Lessien Celebrindal et notre Roi Lenwë Celebrindal, qui sont aussi mes parents) .
Je m’inclinai et les saluai
- Je vous presente mes respects, Mes Seigneurs, (Je vous présente mes respects, Mes Seigneurs) .
- Releve-toi Earwen Narmolanya et sois la bien venue parmi nous. Ton dragon Aerouant N’est-pas ? Est avec toi ? (Relève-toi Eärwen Narmolanya et sois là bien venue parmi nous. Ton dragon Aerouant N’est-ce pas ? Est avec toi ?) .
- Oui Mes Seigneurs, il est la dans la foret, ou il m’attend (Oui Mes Seigneurs, il est là dans la forêt, ou il m’attend) .
- Mais pourquoi attend-il ? Il ne fallait pas le laisser ! (Mais pourquoi attend-il ? Il ne fallait pas le laisser !) .
- Je ne savais pas Mes Seigneurs, si je pouvais le faire entrer dans votre magnifique cité, il commence a grossir et voler un peu partout, et il est tres curieux, j’ai crains qu’il n’effraie tout le monde, car en plus il aime jouer (Je ne savais pas Mes Seigneurs, si je pouvais le faire entrer dans votre magnifique cité, il commence a grossir et voler un peu partout, et il est très curieux, j’ai crains qu’il n’effraie tout le monde, car en plus il aime jouer.) .
- Non ne crains pas pour cela, ne t’inquiete pas mon fils, je ne gacherais pas ta surprise (Non ne crains pas pour cela, ne t’inquiète pas mon fils, je ne gâcherais pas ta surprise) .
- Merci Mere (Merci Mère) .
- Appel ton dragon, et ensuite va avec mon fils, qu’il te montre sa surprise. Il est impatient de ta la montrer, tu sais ? Encore une fois sois la bienvenu, reste aussi longtemps que tu le souhaiteras, Taurnil n’oubli pas l’heure du diner, nous avons du sanglier et du chevreuil (Appel ton dragon, et ensuite va avec mon fils, qu’il te montre sa surprise. Il est impatient de te là montrer, tu sais ? Encore une fois sois là bienvenu, reste aussi longtemps que tu le souhaiteras, Taurnil n’oubli pas l’heure du diner, nous avons du sanglier et du chevreuil) .
Du gibier, je n’en revenais pas. Mais je ne pus rester longtemps plongé dans mes pensées, car Taurnil me demanda d’appeler Aerouant. Avant j’expliquais qu’il ne répondait qu’a une chose, un sifflement, Taurnil et ses parents me rassurent, en me disant que cela n’avait aucune importance. Alors je m’exécutais, Aerouant arriva telle une comète, directement dans mes bras, me renversant au passage, et me léchant le visage. Après la stupéfaction de toutes les personnes présente, ce fut un éclat de rire général, un dragon agissant de la sorte est assez exceptionnel voire d’une rareté absolu. D’après un ancien c’était de très bon augure. Je présentai Aerouant, qui ne se laissai pas approché de trop près quand même, lorsque quelqu’un était trop proche, il se mettait à émettre une sorte de feulement.
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Keltia
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MessageSujet: Suite 3   Je suis Keltia de mon vrai nom Eärwen Narmolanya EmptyLun 6 Avr - 23:43

Taurnil me pris par le bras, ce qui ne plut guère à mon petit dragon qui feula de plus bel, et qui fit rire de nouveau tout le monde "Attention Taurnil, Eärwen à un petit garde du corps".
Il nous emmena visiter sa cité, nous présentant tout Elfe que nous croissions. Puis arrivant à un petit sentier, il me dit de bien ouvrir les yeux, au bout nous nous arrêtâmes dans une clairière, là au beau milieu trônait une tour d’une dizaine étages. Il siffla, et n’en croyais pas mes yeux, je vis un magnifique dragon argenté s’envoler pour atterrir près de nous. Oh la réaction d’Aerouant, il se gonfla tel un chat sauvage de la forêt des Pendus, et feula, siffla et si il avait su il aurait craché des flammes. Je pris Aerouant dans mes bras pour le rassurer et le calmer. Le dragon Argenté nommé Elrohir Telemmaitë aurait pu l’avaler sans le mâcher en une bouchée. Mais au lieu d’être agressif face à ce petit sauvage d’Aerouant, il se montra comment dire, compréhensif ? Ce n’est peut être pas le terme exact pour un dragon. Nous passâmes le restant de la journée dans la clairière en la compagnie de d’Elrohir Telemmaitë qui en langue commune signifie Epée d’Argent.

Finalement au lieu de ne rester que quelques jours parmi eux, je restai un peu plus de deux ans. Au bout d’un mois Taurnil ne m’appelait plus par mon prénom mais petite sœur, lui et mois avons le même âge, en discutant il s’est même avéré que nous étions « jumeau » pour ainsi dire, né le même jour, du même mois et la même année, nos mères nous ayant mis au jour en même temps à 10 minutes près, lui étant venu au monde avant moi, me rappelait régulièrement qu’il était mon ainé. Ces parents riant à chaque fois, un jour ils me dirent qu’ils étaient vraiment heureux de cette rencontre, tout en étant attristée par mon histoire, et ils ne m’ont jamais montrés leurs désapprobations du fait de ma réaction face aux membres de mon ancienne communauté là bas aux Lacs d’Aris.

La reine Lessien me dis même, que le destin était bien étrange, qu’il m’avait pris de la pire façon qui soit ma famille, pour plus tard m’en donné une deuxième, je ne pus à ce moment retenir mais larmes. Ces Elfes m’on adopté, sans concession, elle me dit être triste et heureuse en même temps, car ce destin si cruel, lui avait donné la fille qu’elle désirait. Elle me serra fort contre elle et m’embrassa, comme le faisait jadis ma mère. Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes, Taurnil ayant assisté à toute la scène ne put s’empêcher de venir de nous prendre dans ses bras et de me dire qu’il avait lui là petite sœur qu’il avait toujours voulut. Je dois avouer que mon cœur fit un bon extraordinaire dans ma poitrine, et que mon jugement sur les Elfes changea, oui j’avais de nouveau, un père, une mère et un frère plus âgé de dix minutes. Une nuit ce dernier vint me trouver dans ma chambre et me dit que j'étais attendu au temple Melwasúl, il ne voulut rien me dire temps nous n'étions pas arrivée sur place. Une fois dans les lieux, la Reine Lessien vint à notre rencontre et me dit, qu'ils voulaient demander à Corellon Larethian le créateur de la race elfique son accord pour m'adopter, si bien sur je donnais moi aussi mon accord, elle avait dans les yeux de l'espoir, ainsi que le Roi et Taurnil. Moi-même je n'en revenais pas, je ne pus rien dire, mais seulement me précipité dans leurs bras, ils comprirent donc qu'ils avaient mon accord, et purent entamer la cérémonie. Celle-ci dura plus de deux heures, Le Grand Corellon Larethian donna son accord, ainsi je pouvais devenir officiellement membre de la famille royal.
Cette cérémonie eu lieu une semaine après, et qu'elle cérémonie tout bonnement une splendeur, je troquais pour l'occasion mes vêtements habituel, pour une magnifique robe de soie verte tendre, avec des ornements d'or, d'agent et de pierreries, mes cheveux coiffés de torsades avec entrelacés des fils d'or et d'argent. Le grand prêtre me baptisât de nouveau et me dit que je portais dorénavant le nom de : Eärwen Celebrindal, fille de Lessien et Lenwë Celebrindal souverains de Beren Melwasúl.
Je m'inclinais, mais mon geste fut suspendu par Père, qui me dit que je n'aurais plus à m'incliner de la sorte devant eux, mais que je me devrais de les embrasser sur le front, comme le font toutes les filles. Je le regardais les yeux embués, je me penchais et l'embrassais sur le front, lui aussitôt me pris dans ses bras, pour me serrer fort contre lui, par tout les dieux, j'avais oubliée ce que c'était d'être enlacée par son père. Il me dit de me retourner, là tout le peuple de Beren Melwasúl poussa des hourras et vive la princesse, vive no souverains. Qu'elle nuit magnifique que cette nuit où j'eu de nouveau une famille, je passais mon temps en promenade avec mes parents, mon frère et danses.
Je crois pouvoir dire que je dormis cette nuit là comme un loir.
Pendant ses deux ans, Taurnil et les nôtres, ainsi qu’Elrohir nous apprirent beaucoup à Aerouant et moi. D’ailleurs nos liens déjà si forts, se serrèrent encore plus. Lui devins plus aimable envers Elrohir, qui fut son professeur de vol, vole, de magie, et bien d’autres choses encore que seuls les dragons ont connaissances. Taurnil, moi d'autres compatriotes faisions des sorties régulièrement, lorsque des Orcs étaient trop proche de nous, au cours d'une de nos chasses, Aerouant cracha, ce jour là pour la toute première fois des flammes et quelles flammes. Il grilla un Orc en un jet. Il avait fier allure, il se pavanait littéralement, conscient qu'il crachait enfin du feu, puis un Orc vint derrière mois, m'attaquer sournoisement, là Aerouant crachat non pas des flammes mais un jet d'acide. Lorsque nous rentrâmes, j'eu la surprise de l'entendre parler pour la toute premier fois, qui ne s'avéra pas le dernière, à présent il est intarissable avec moi.

Après deux merveilleuses années, le goût de l'aventure vint me tarabusté. Ma famille compris, et ne chercha pas à me faire changer d'avis, mais mère pleura doucement, père me souhaita bonne route et m'ordonna d'être prudente que si il m'arrivait quelque chose, c'est lui qui se chargerais de m'achever, il me dit cela tout en me serrant tendrement sur son cœur, mon frère me dit a peu près la même chose, me pris aussi dans ses bras, avant que nous les quittions, ma famille et mon peuple vinrent nous offrir des présents et maintes richesses. Pour mon dragon, de magnifiques pièces d'armures ciselées spécialement forgées pour lui et béni de la magie d'Elrohir. Pour moi, une cuirasse aussi solide que légère, tout aussi magnifiquement ouvragés, le blason de ma famille en or, argent et pierreries. L'armurier lui, me porta d'une splendide épée gravée à nos armes, avec une prière elfique de force et protection le long de la lame, le pommeau or et argent ciselé, tiens parfaitement dans la main et une dague. Les tailleurs, eux une pleine malle de vêtements, divers et variés. Certains à usages quotidiens, d'autres de cérémonies, d'autres encore pour le combat. Des vêtements pour chaque saisons, tous très solides et léger aux couleurs magnifiques. Le sellier vint avec deux de ses apprentis, l'un portait un tapis de selle et l'autre une selle, Aerouant les regarda et dit <>, il lui répondit <>, nous le remerciâmes tout deux chaleureusement pour son intention. Le Maître Armurier, nous dit qu'il nous faudrait essayer nos cuirasses avant de partir, afin d'y apporter des ajustements le cas échéant.
Je dois avouer qu'avoir cette armure est tout bonnement du bonheur, et aucuns ajustements à faire, elles sont parfaites, même Aerouant était heureux de l'avoir, d'autant qu'en cas de combat les parties, autres que les ailes, qui sont fragiles et qui rendent donc Aerouant vulnérable, le protège avec efficacité. Mère me remis un coffret décoré de dragons, en l'ouvrant je découvris un véritable trésor, des pièces d'orfèvreries absolument étincelante, dont des bijoux appartenant à ses famille depuis des générations, qu'elle preuve, si il en fallait une de mon appartenance à la famille. Père lui me glissa au doigt une chevalière de toute beauté gravée à nos armes, en me disant que cela me fera reconnaitre comme étant la princesse de Beren Melwasúl, mon frère lui me fit aussi un présent inestimable enfermé dans un petit coffret, mais comme c'est notre secret à Taurnil et moi, je ne vous dirais donc pas ce que contient ce coffret. Dans tous les cas nous avons mis au point une correspondance très active. Aerouant vola jusqu'à son maître et lui dis au revoir, celui-ci lui donna d'autres conseilles <>, <>, puis Elrohir (c'était drôle ils avaient tous les deux un air gêné) lui envoya une bourrade, qui si elle avait été donné à un elfe par exemple, bien que solide aurait été brisé en morceaux. On me remit trois superbes chevaux, deux pour les différents bagages et un pour moi, d'un noir profond, entièrement noir, pas une trace, ne serait-ce qu'un poil d'une autre couleur, avec une selle du plus beau et solide cuir qui puisse y avoir, faite à partir d'une vouivre, de couleur moiré, tirant sur un bleu-vert, brun profond. Toujours avec nos armes gravés dans le cuir. Une fois parée, nous reprîmes notre route.

Aerouant était grand maintenant mais encore suffisamment pour me prendre sur son dos sur de longue distance. Donc j'abandonnai l'idée de traverser la mer des Larmes, pour partir au Nord-est vers le Dent du dragon. Nous contournâmes le Marécage de l'Oubli, pas question de le traverser, puis une partie de la Forêt des Pendus, nous passâmes par le Vallée de Thun, à proximité d'Ireth Oronar, le village où je vis le jour, sans nous y arrêter. Nous nous dirigeâmes ensuite vers le Nord pour traverser le Massif des Nains (Moi je n'en ai pas vu un, Aerouant par contre lui, d'après ce qu'il me disait en revenant de sa chasse, je crois que c'est là qu'il préfère chasser, ce sont les plus goûtus toujours d'après Aerouant).
Un matin nous arrivâmes enfin à la Dent du Dragon. Pouah qu'elle fournaise, même si cela n'avait pas l'air de trop déranger Aerouant. Nous y croisâmes quelques Orcs, mais surtout des gobelins avec leur sourire mauvais. Leurs petits yeux globuleux, et leur voix nasillarde si désagréable à entendre. Je les débitais en morceaux, lui les grillais façon barbecue, ou leur offrait une douche d'acide. Après quelques semaines, nous reprîmes notre route, croisions des chevaliers, Paladin.

Aerouant et moi étions dans la vallée de Cordes en route pour Tarabat, lorsque….























Par une belle journée de printemps pluvieuse.


Il ya des années que nous ne nous étions vu lui et nous, qu'elle surprise pour lui lorsqu'Aerouant reconnaissant son odeur le plaqua au sol, pour lui dire bonjour, pauvre Argov complément écrasé sous le poids de mon dragon, lors de notre première rencontre Aerouant tenait sur mon épaule et là c'était le contraire. Argov réussit après maints efforts à me convaincre de le suivre jusqu'à Tarabat pour me présenter sa commanderie, ses frères et sœurs d'armes et là de postuler.
Ma rencontre avec eux, fut assez surprenante de la diversité des races et c'est ma foi très bien passé, après réflexion j'ai décidée de prolonger mon séjour et depuis j'ai l'impression de retrouver la confiance perdu envers mes semblables et les autres races, même avec les nains, qui sont imbattables je dois bien l'avouer pour dénicher la meilleur bière. Aujourd’hui ils sont mes compagnons d’armes, ayant intégré la guilde d’Alménor en la Forteresse de Tarabat. Nous combattons sous le même drapeau, celui de la liberté, les orcs, gobelins, zombie et autres liches, lâches, laiderons.
Avec eux nous sommes allés aux frontières de la Montagnes de l'Ombre et du Royaume Interdit pour le Nord, nous avons traversé le Col Glacé et fleuretés avec Le Pays Non Exploré pour l'Est, pour le sud nous avons traversé la Steppe, en direction du Palais des Os "La déco est spéciale, mais les tarifs très abordables, demi tarifs pour les enfants et les Nains), puis nous visitâmes Le Royaumes des araignées (sales bêtes, remarque pour Aerouant ça changeai des autres animaux, Nains et Cie). Une fois là pourquoi ne pas pousser plus au sud et traverser Le grand Désert en direction des ruines, puis au Sud-est vers la Vallée des serpents.
Nous remontâmes sur Tarabat, là nous pûmes nous reposer et accomplir nos missions pour la réunification.

A présent qu'Aerouant est suffisamment fort pour couvrir de longues distances avec moi sur son dos. Je proposerais bien à mes compagnons d'armes de venir avec nous. Traverser la Mer des Larmes, pour nous rendre sur l'île en face de la Steppe.

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